Les consommateurs australiens font de plus en plus attention à ce qu’ils dépensent pour Noël, à la fois pour des raisons économiques et pour l’impact sur notre planète. La solution : …
Noël ne sera plus blanc, il sera vert
Les consommateurs australiens font de plus en plus attention à ce qu’ils dépensent pour Noël, à la fois pour des raisons économiques et pour l’impact sur notre planète. La solution : pour Noël cette année, pensez vert !
83% des sondés dans une récente enquête mondiale affirment qu’ils changeraient leur manière d’acheter si cela contribuait à une planète plus saine. Cette attitude ouvre un nouveau marché de l’éco-cadeau, qui prend peu à peu le pas sur les cadeaux plus traditionnels.
Une compagnie australienne, Naturally Gifted, en a fait son message principal et explique dans le détail le concept de l’éco-cadeau.
Un éco-cadeau peut être tout cadeau avec une valeur environnementale, ou favorable au développement durable. Par exemple, la fabrication dans des pays en voie de développement par des travailleurs non-exploités. Tous les cadeaux organiques entrent aussi dans la catégorie.
Les éco-cadeaux sont faciles à identifier : ils doivent présenter les caractéristiques de faible impact sur l'environnement - emballage minimum, recyclé ou recyclable, ne pas avoir une forte empreinte carbone. Et, si possible, proposer une certification commerce équitable ou une autre reconnaissance de développement durable.
Faire un éco-cadeau profite à tous : la planète, le destinataire et l’acheteur, qui fait preuve d’une forte conscience environnementale. C’est aussi une façon de soutenir bien plus que le magasin d’où provient le cadeau : c’est tout une chaîne jusqu’au petit producteur affilié au commerce équitable qui en profite.
Pour le moment, la demande pour ces produits est encore limitée mais chaque éco-cadeau acheté ne fait qu’encourager les investissements pour que ce commerce parallèle devienne prochainement la norme. Un cadeau du commerce équitable aide à la lutte contre l’esclavage, un cadeau organique encourage les bonnes pratiques, et donne raison aux compagnies équitables encore trop peu nombreuses qui choisissent de travailler en priorité avec les organisations caritatives et les producteurs locaux.