Deux courses ont démarré aux extrémités de la Nouvelle-Zélande pour se rejoindre dans la capitale. Cette inauguration sert aussi à transmettre un message, réfléchir au meilleur moyen d’aller du point A au point B.
Le Tour de Nouvelle-Zélande promeut le « transport malin »
Deux courses ont démarré aux extrémités de la Nouvelle-Zélande pour se rejoindre dans la capitale. Cette inauguration sert aussi à transmettre un message, réfléchir au meilleur moyen d’aller du point A au point B.
La fondation Hikurangi, partenaire officiel de la course, a formé une équipe pour participer au Tour de Nouvelle-Zélande et collecter des fonds. Les dons serviront à organiser un défi « Transport Malin » dans lequel les participants devront favoriser le vélo ou les transports à faible empreinte carbone (lancement en fin 2012).
Hikurangi soutient l’innovation en matière de réduction des émissions carbone dans l’énergie, le transport, les entreprises et le mode de vie durable. La fondation a déjà lancé des campagnes de développement de pistes piétonnes et cyclables et le premier système national de taxi-bus intégré aux transports en commun.
Le « transport malin » cherche à réduire des problèmes de sécurité et de santé. Il recherche un meilleur coût et une plus grande efficacité tout en minimisant l’impact sur le climat. Pour la fondation, la communauté a une vraie chance de changer les choses sous la direction de bons leaders.
Les équipes du nord ont parcouru 638 km depuis Cape Reinga et celles du sud, 687 km depuis Bluff. La course s’est achevée par une épreuve commune autour du Parlement, choix symbolique pour attirer l’attention des chefs politiques.
L’équipe de Hukirangi est aussi sponsorisée par des institutions du commerce équitable (All Good Bananas) et de produits écologiques (Ecostore).
Pour plus d’informations sur la course : www.tourofnewzealand.co.nz et http://www.hikurangi.org.nz/tourofnz