La bonne entente entre un chercheur de Papouasie Nouvelle-Guinée et une compagnie japonaise a permis l’introduction de l’hydro-électricité dans des écoles et des foyers qui vivaient encore au rythme de la lumière du soleil.
petits pas pour l’électricité vers les coins isolés
La bonne entente entre un chercheur de Papouasie Nouvelle-Guinée et une compagnie japonaise a permis l’introduction de l’hydro-électricité dans des écoles et des foyers qui vivaient encore au rythme de la lumière du soleil. Cette initiative offre des perspectives prometteuses !
Le premier micro-système d’énergie hydro-électrique au monde vient d’être installé dans une zone rurale de Papouasie Nouvelle-Guinée, permettant enfin à plusieurs habitations, centres sanitaires et écoles d'accéder à l'électricité. Pour un investissement d'environ 50.000 dollars américains, on peut générer suffisamment d’électricité pour 30 foyers.
Nobuchika Ihara, directeur de la compagnie japonaise Seabell International Corporation, a le projet d’implanter une usine en Papouasie Nouvelle-Guinée, créant à la fois emplois et électricité, et permettant d’étendre sa zone d’action aux petits pays voisins.
M. Ihara, invité en Papouasie Nouvelle-Guinée par son ami le Dr William Tongamp, chercheur de l’université Akita au Japon et résidant en Papouasie Nouvelle-Guinée, a expliqué que le micro système hydro-électrique, facile à installer et à entretenir, remédiera au problème de la destruction de l’environnement habituellement engendré par l’hydro-électricité.
Ayant constaté que la mère de son ami vivait encore sans électricité, c'est d'abord en Papouasie Nouvelle-Guinée que M. Ihara a décidé d’implanter son système novateur parfaitement adapté aux besoins écologiques et en énergie du pays. Grâce à ce système, les habitants ont désormais accès aux bibliothèques plus longtemps, à Internet et au reste du monde, à la grande fierté du Ministre de l’Education.
Les représentants des provinces environnantes, qui assistaient à la présentation, parlent déjà d’acheter eux-aussi ce système, promettant un futur plus lumineux aux coins reculés du pays.