Pour la troisième année consécutive, l’Etat de Palau figure parmi les dix destinations les plus éthiques du classement effectué par l’ONG américaine Ethical Traveler. Il est rejoint cette année par un autre Etat océanien, Samoa. Avec cinq destinations sur dix, le classement fait la part belle aux Etats insulaires, jugés plus soucieux de l’environnement.
Deux états du pacifique dans le top 10 des destinations éthiques
Pour la troisième année consécutive, l’Etat de Palau figure parmi les dix destinations les plus éthiques du classement effectué par l’ONG américaine Ethical Traveler. Il est rejoint cette année par un autre Etat océanien, Samoa. Avec cinq destinations sur dix, le classement fait la part belle aux Etats insulaires, jugés plus soucieux de l’environnement.
Promouvoir un tourisme durable
Chaque année l’ONG Ethical Traveler étudie les politiques et pratiques de centaines de pays en développement pour établir son classement des dix destinations touristiques les plus éthiques. En encourageant le tourisme vers ces pays, elle espère soutenir un modèle de développement durable.
L’organisation distingue les pays qui développent une industrie touristique communautaire et durable dans le respect des droits humains, de l’environnement et de la société civile.
Les Etats insulaires enclins à se soucier de l’environnement
En 2013, Palau et Samoa figurent parmi les dix destinations les plus éthiques aux côtés de la Barbade, du Cap Vert, du Costa Rica, du Ghana, de la Lettonie, de la Lituanie, de Maurice et de l’Uruguay. Les deux Etats océaniens se distinguent par la promotion d’une économie verte et la mise en œuvre de programmes de développement durable. Palau montre en outre d’excellents résultats en matière de droits humains.
Avec cinq représentants au classement, les Etats insulaires sont comme chaque année très présents. « Ces Etats ont compris que les îles vont être fortement affectées par les changements climatiques et se placent par conséquent à l’avant-garde en matière de politiques environnementales progressistes », explique Ethical Traveler.
Toutefois, l’organisation rappelle qu’aucun pays n’est irréprochable, en particulier lorsque des limitations économiques existent.